Célia IBANEZ

  • Autrices et auteurs francophones (Bulle du Livre)
  • Française

Présentation

Célia Ibañez est une écrivaine française née en 1982 à Marseille. Elle est surtout connue du grand public pour sa trilogie de science-fiction H+.
Elle est diplômée en sciences politiques de l’Institut d’études politiques d’Aix en Provence. Après un master en management interculturel et religieux, elle travaille comme formatrice en français, langues et culture générale dans divers centres de formation.
Son genre de prédilection est la science-fiction mais elle a écrit aussi plusieurs livres de fantastique (l’hexalogie Le Cinquième Monde en autoédition).
En 2018, elle est présidente du jury de l’académie Aix/Marseille/Avignon pour le concours national de nouvelles du Crous. En 2020, elle devient membre du jury du concours de nouvelles de science-fiction pour les éditions Plumes Ascendantes.
En 2020, elle a gagné le prix des lecteurs Mille Saisons pour sa nouvelle intitulée La Flamboyante, publiée dans l’anthologie interactive Revenir de l’avenir, aux éditions Le Grimoire.
Cette année, elle est la marraine et présidente du jury du prix Orion, un concours d’écriture de science-fiction organisé par l’université de Lorraine.
Connue pour ses personnages vivants et colorés et son univers cyberpunk et transhumaniste, Célia Ibanez écrit aussi pour les enfants : Kids Mystery et Le Secret d’Angie devraient ainsi connaître plusieurs suites cette année !
Son dernier roman, issu de l’univers de sa nouvelle « Dernier Train pour Tsulan » (adaptée en feuilleton radiophonique et court métrage dans anthologie interactive Des Astres humains, aux éditions Le Grimoire) paraîtra au printemps 2024 aux éditions Olivier Portejoie.

Présence au festival

  Matin Après-midi
23 Mai 2024 Absente Présente
24 Mai 2024 Présente Présente
25 Mai 2024 Présente Présente
26 Mai 2024 Présente Présente

Programme

23 Mai 2024

Quels sont les outils que l’on peut développer pour survivre ? Quel état d’esprit doit-on adopter ? Construire un bunker entièrement autonome ou jouer la carte de la sobriété adaptative ?